Alors que crachant mes branchies, je n'ai pas été en mesure de nager depuis 10 jours, j'ai souhaité inscrire mes petites performances afin de rester un peu dans le bain.
Au plouf #14, j'étais exceptionnellement accompagné par un nageur japonais dont je raconterai à une autre occasion le pourquoi du comment.
Toujours est-il que je n'ai pas commis l'impolitesse de planter mon invité trop longtemps au bord du bassin, le pauvre garçon étant essouflé après 20 mns de baignade. Aussi ai-je raccourci cette séance à 45 mns et 50 longueurs (1250 mètres, autant dire du pipi de chat...).
Le dimanche suivant je n'ai pas réussi à me lever.
Tankée au fond de mon lit, je n'ai pas fait tchin-tchin dans le bleu de la piscine.
Vint alors rapidement le mercredi où je me suis fait une énorme violence pour sortir dans le frais et la nuit.
Motivation zéro, besoin de se défouler exponentiel.
Et le miracle fût. 1825 mètres. Record pulvérisé, que dis-je, atomisé.
Sensation de nager comme une fusée. Certes j'exagère énormément mon ressenti, mais même en m'octroyant quelques pauses, j'ai parcouru davantage de longueurs que les fois précedentes.
Grande fierté du cachalot !
Et c'est ainsi que 48 heures plus tard, j'ai commencé mon stage "Tuberculose stade avancé" et que cela fait maintenant 8 jours que je me traîne une bronchite.
Vive le sport.
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