Deux semaines que je suis en congé maternité et 8 jours que j'ai appuyé sur le bouton OFF du plafonnier = enfants hors du nid familial tout le mois de juillet.
Oui cela fait un bien fou, physiquement et intellectuellement.
Pendant un mois, plus de sollicitations intempestives à coups de "Maaaaaaaaaaaamaaaaaaaaan Vieeeeeeens", "Maaaaaaaaaaamaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan"...
Et pour 6 mois vade retro aux études de marché, négociations, rédactions de clauses alambiquées, décryptages de notes et rapports inutiles, réunions abrutissantes, et autres réjouissances professionnelles.
Et pour 6 mois vade retro aux études de marché, négociations, rédactions de clauses alambiquées, décryptages de notes et rapports inutiles, réunions abrutissantes, et autres réjouissances professionnelles.
Adieu la gestion de projets urbains à conjuguer avec les plannings des 5 membres de la famille, j'arrive même à prendre plaisir dans la lecture de polars. Un miracle.
Mais, même dans le monde des bisounours, tout se paye : dans 6 semaines environs, à moi les ouins ouins et les nuits coupées.
Alors évidemment, pas hâte de ressembler à un zombie, et simultanément impatiente de déposer mon paquet, cette petite fille qui sera forcément aussi merveilleuse que ses aînés.
En attendant, me voilà en parfaite femme au foyer désespérée : incapable de gérer plus de 3 tâches et 2 rendez-vous par semaine, fatiguée au bout de quelques minutes de shopping et reine de la procrastination.
Par exemple là maintenant tout de suite, au lieu de traîner devant cet ordinateur avec 4 onglets ouverts...je devrais soit être dans un rayon bricolage, soit commander un livre photos, soit reprendre un montage vidéo interrompu depuis trop longtemps.
Vous ne vous rendez pas compte, ma vie est trop difficile.
aaaaaaaaaaaaah ca fait du bien de se reconnaitre !!!!!!!!
RépondreSupprimeren meme temps ca fait peur...